WhiteWinter
“Quelques mois après le somptueux “Live Archive 05”, grand retour en arrière de plus de vingt ans.
Ce volume-là, lui aussi dans un registre acoustique, est en grande partie un concert enregistré en 1983 à Edimburgh, lors de la tournée “Bay of Kings”. Les trois derniers morceaux sont joués live, mais sans public.
Un son moyen (mais on s’en doutait, c’est un bootleg vinyl à la base), mais une prestation tout à fait à la hauteur des live plus récents.
L’absence de claviers n’est pas pesante et la magie opère tout autant.
L’enthousiasme du public fait énormément plaisir à voir (enfin, à entendre !)
Côté musique, Steve fait la part belle à “Bay of Kings” (subjectif : “tant mieux !) mais réserve aussi des inédits, quelques bonnes surprises, créditées (“A Cradle of Swans”, “Concert for Munich”) ou pas (le thème d'”Arrival”, “Overnight sleeper”).
P.S : au vue de la set-list, avant la sortie, on était plusieurs à regretter l’absence du magnifique “Black Light”…
En fait, prêtez bien l’oreille…
Tracklist
![](http://www.genesis-fr.com/wp-content/uploads/2020/08/2006_LiveArchive83.jpg)
Infos générales
“Quelques mois après le somptueux “Live Archive 05”, grand retour en arrière de plus de vingt ans.
Ce volume-là, lui aussi dans un registre acoustique, est en grande partie un concert enregistré en 1983 à Edimburgh, lors de la tournée “Bay of Kings”. Les trois derniers morceaux sont joués live, mais sans public.
Un son moyen (mais on s’en doutait, c’est un bootleg vinyl à la base), mais une prestation tout à fait à la hauteur des live plus récents.
L’absence de claviers n’est pas pesante et la magie opère tout autant.
L’enthousiasme du public fait énormément plaisir à voir (enfin, à entendre !)
Côté musique, Steve fait la part belle à “Bay of Kings” (subjectif : “tant mieux !) mais réserve aussi des inédits, quelques bonnes surprises, créditées (“A Cradle of Swans”, “Concert for Munich”) ou pas (le thème d'”Arrival”, “Overnight sleeper”).
P.S : au vue de la set-list, avant la sortie, on était plusieurs à regretter l’absence du magnifique “Black Light”…
En fait, prétez bien l’oreille…